Il était une fois… des émotions, des sensations, des intuitions…
que j’ai dû écouter.
Il était une fois… des hybridations…
que je n’ai pas pu nier.
Il était une fois… le besoin de comprendre…
et de raconter. Des contes illustrés.
la petite histoire
Qu’est-ce qu’un récit ? Que signifie écrire une histoire ? Qu’est-ce qui s’y opère ? Une rencontre. Une transformation. Une résonance. « La petite histoire », c’est le récit d’un récit. C’est l’histoire d’une histoire qui commence toute petite, « quatre mots seulement : “Il était une fois”. Rien que ça. Même pas une phrase entière ! Colère ». Mais la petite histoire ne veut pas en rester là, alors elle va se mettre en quête… de mots, des autres, du vivant… et d’elle-même.
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que le monde entier est en toi
Et si le petit chaperon n’était pas rouge, mais jaune ? Et s’il ne voulait pas simplement traverser la forêt, mais y rester ? À l’heure où les forêts brûlent, ce conte poétique propose d’explorer une autre relation à la forêt. Une forêt que l’on ne considérerait pas seulement comme un espace de production, un espace de loisirs extérieur à soi, mais comme un espace de vie, de rencontre de soi-même et des enjeux du monde.
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elle s’appelait suzanne
Tenir conte pour tenir compte. Une histoire qui s’est imposée à moi. Des visuels modernes pour une histoire ancienne, parce que passé et présent ne cessaient de se mêler. Une histoire difficile, voire indicible, et pourtant… L’art m’y a aidée, autorisée.
« Touchés par les destins brisés de leur famille, par une ressemblance physique, par tout ce qui les sépare d’eux, ils sont emplis de curiosité, de respect et de fierté, mais aussi de peine et de souffrance. Cette génération, assez près des événements pour en rencontrer les derniers acteurs et assez loin pour moins en souffrir, est-elle destinée à raconter l’histoire familiale ? Certains petits-enfants écrivains, en tout cas, se sentent désignés pour partir à la rencontre des fantômes.
Grâce à eux, les fantômes se sont incarnés, mais la douleur n’a pas totalement disparu. Une chose est sûre, la génération suivante n’aura pas à chercher, elle disposera de l’histoire familiale. Les livres de ces écrivains sont cette indispensable ‘stèle de papier’ : ils mettent un terme à l’errance des morts sans sépulture. »
Aurélie Barjonet, Ivan Jablonka, L’Enfant-Shoah
lili, une curieuse hybride
Un stylo noir, des crayons de couleurs, de l’aquarelle… Une histoire à l’allure enfantine, des petits personnages rigolos… et quelques clés cachées pour faire face aux enjeux de notre monde. De la couleur, du dessin, de la poésie… parce qu’en ouvrant une porte à l’hybride qui est en nous, on ouvre une porte à la complexité du monde… parce qu’en prenant de la hauteur, on constate que ce qui apparaît d’abord comme une faiblesse peut se révéler une force… parce qu’en tissant des liens avec l’autre, y compris l’autre en nous-même, on laisse une place à l’imagination féconde.
cody et les pensées persistantes
Un conte imaginé à deux, et illustré en hybridant l’abstrait et le collage. Tout cela pour traiter en légèreté un sujet pas si simple de la vie de tous les jours : les pensées dévalorisantes qui nous passent par la tête, y repassent et insistent ! (les bougresses)