15 ans de recherche et de facilitation des transitions agricoles, alimentaires et territoriales m’ont convaincue que nous ne résoudrons pas les grands problèmes de notre temps sans soutenir les parts sensibles de nos engagements ; sans contribuer à des visions et à des récits plus riches et plus désirables d’un monde écologique ; sans ouvrir des espaces de résonance (Rosa, 2018) et de réciprocité entre vivants.

Depuis mes études, j’ai fait évoluer parallèlement ma passion pour le vivant et ma passion pour l’art, celui de l’écriture en particulier. Curieuse hybride à la fois créative et rationnelle, intuitive et scientifique, je réunis aujourd’hui ces deux univers en proposant un accompagnement qui fait tout particulièrement sens pour moi.

Je suis Ingénieure du vivant, Docteure AgroParisTech, Animatrice certifiée en Journal Créatif® et formée à l’animation d’ateliers d’écriture par Rémanence des mots. 

Poser des mots sur les situations complexes que vous traversez ensemble, afin de les clarifier et d’identifier des fils conducteurs de résolution

Mettre en valeur l’histoire et le présent de votre collectif, organisation, réseau ou territoire, et en faire des témoignages authentiques et partageables, au service de votre projet

Produire collectivement une prospective originale et sensible, dans la rencontre d’éléments scientifiques et imaginaires, dessinant des horizons joyeux et enthousiasmants

Identifier les valeurs et convictions qui nourrissent vos engagements, et les réunir sous la forme d’un manifeste écrit

Mettre en mots vos relations aux autres vivant.es (humains et non-humains) pour les apaiser, les enrichir et nourrir l’interconnaissance et la coopération

TÉMOIGNAGES AUTHENTIQUES MOBILISABLES DANS VOTRE COMMUNICATION

RÉCITS ORIGINAUX ET SENSIBLES NOURRISSANT UN TRAVAIL DE PROSPECTIVE

TEXTES SUPPORTS À LA (RE)DÉFINITION DE VOTRE PROJET ASSOCIATIF

POÈMES ET FICTIONS POÉTIQUES RACONTANT LE RELATIONNEL DE VOTRE GROUPE

TOUT OU PARTIE D’UN MANIFESTE TRADUISANT VOS ENGAGEMENTS ET VALEURS

En passant par l’écriture créative (fictions, poèmes, textes courts), sur la base de propositions décalées et conçues pour vous sur-mesure, vous ferez un détour par le monde des mots pour mieux cheminer dans vos projets collectifs, associatifs, de territoires… 

Écrire vous permettra de (ré)investir les dimensions intuitives et créatives de vos engagements et de vos relatinos, et d’imaginer des réponses nouvelles à vos problématiques et aux enjeux actuels du vivant. Je vous accompagnerai dans la réflexivité – de vos textes, de vos processus d’écriture, de vos expériences – socle de connaissance de soi et des autres, et de cheminement dans la coopération et le sens.

Parce que les réponses aux problèmes écologiques de notre monde (dérèglements climatiques, perte de biodiversité, pollutions, etc.) ne peuvent être uniquement techniques, et doivent également être humaines, relationnelles, émotionnelles…

Parce que nous avons collectivement besoin d’horizons désirables, beaux, qui nous (é)meuvent, de « nouveaux récits », c’est-à-dire de nouveaux mots, de nouvelles histoires, de nouveaux visuels… 

Parce que celles et ceux qui s’engagent professionnellement et/ou bénévolement avec l’élan de dessiner une société plus respectueuse du vivant, en soi et autour de soi, manquent aujourd’hui de soutien…

Parce que nous avons besoin de méthodes et d’outils innovants et sensibles pour mieux « être et faire ensemble », de tous nos êtres et pas uniquement par notre réflexion intellectuelle…

Cet accompagnement est dédié aux actrices et acteurs du vivant et aux étudiant.es qui le deviendront bientôt :

BIODIVERSITÉ INTRINSÈQUE

« Elle est là !

Présente. Sous ses doigts, dans les interstices, sous la plume qui court à travers les lignes géométriques. Ces lignes fixes et solides, qui deviennent fluides au fur et à mesure de l’introspection, du temps qui passe en présence, de cette évolution progressive vers le démembrement de soi, vers le mouvement perpétuel qui conduit à ce qui est là !

Elle est là !

Présente ! Elle n’est pas seule. Des feuilles se baladent le long de ses jambes. Elles glissent comme l’eau se fraye un chemin entre les molécules adipeuses de sa peau. Puis elles s’envolent en recrachant les derniers atomes d’oxygène contenus dans leur enveloppe, emportées dans un vacarme éolien. Elles sèment, par pur hasard dans le chaos de l’air, ces fragments d’elles à qui voudra bien s’en saisir.

Elle est là !

Nourrie de cette biodiversité intrinsèque qui explore, abonde, regorge, envahit, ne laissant aucune place au vide de l’existence.

Elle est là !

Remplie de ce qui l’enveloppe, qui la tourmente de ne pas être ce qu’elle avait toujours pensé. Un corps et un esprit à part entière.

Elle est là !

Entre les spores, sous les lignes de flottaisons, au delà de l’horizon, bercée par les lumières stellaires qui s’agitent comme des flash à la surface d’une eau bleu profonde. Elles s’allument en cadence les unes après les autres impulsées par le rythme des gongs de la terre en ronflement. Il n’y a qu’à écouter pour être transporté. Ces lumières, elle ne les voyait plus, cachées par les échos incessants d’une pollution sonore beaucoup trop intense.

Mais maintenant, elle est là !

Quelque part… connectée à la toile du vivant, respirant de ces mêmes connexions telluriques, participant au même va-et-vient en un instant imprécis ! Un astre en mouvement au milieu du commun !

Elle est là, poussière d’étoiles ! »

Cédric

Ce texte a été écrit par un participant de l’atelier d’écriture créative intitulé « Non mais on rêve?! » animé le 23 mai 2025 lors de LA JOURNÉE DE CELLES ET CEUX QUI FONT BOUGER LES TERRITOIRES, organisée par Citoyens & Territoires Grand-Est.

Partant des scénarios de prospective de l’ADEME « Transition(s) 2050 Â» sur la neutralité carbone, les participant.es ont été guidé.es dans l’écriture de fictions poétiques intégrant ce que la réception de ces scénarios avait éveillé chez elles et eux de frissons, de surprises, d’envies et de douces folies…

« Qu’ai-je voulu signifier en énumérant ainsi les implications de la lecture du poème ? Qu’il ne s’agit pas seulement de lire un texte. Je fais l’éloge d’un acte de rébellion. II n’est assurément pas purement symbolique puisqu’il suppose un comportement, une attitude physique et mentale qui contreviennent aux normes de l’époque : non seulement improductifs mais contre-productifs. C’est un effort pour rien. Sans valeur objective. Il ne vise ni la performance, ni un savoir, ni une compétence. La vie n’est ni une performance, ni un savoir, ni une compétence comme on voudrait nous le faire croire. Lire un poème, c’est un effort pour vivre. »
Petit éloge de la poésie, Jean-Pierre Siméon, page 80

L’accompagnement prend la forme d’ateliers collectifs, animés auprès de groupes de 6 à 10 personnes réunies physiquement ou en visioconférence. Le thème de l’atelier a été défini à l’avance en fonction du contexte et du besoin. J’arrive en animation avec une trame d’atelier, fil conducteur de la séance.

1ACCUEIL DES PARTICIPANT.ES ET PRÉSENTATIONS MUTUELLES
2PRÉSENTATION DE L’INTENTION DE L’ATELIER ET DES « RÈGLES DU JEU »
3ÉCHAUFFEMENT CRÉATIF PAR UNE 1ère PROPOSITION D’ÉCRITURE
4SUITE DE 1 À 3 PROPOSITION(S) D’ÉCRITURE (DE 5 À 15′ CHACUNE), POUVANT ÊTRE INDIVIDUELLES, OU COLLECTIVES (ÉCHANGES DE MOTS, ÉCRITURE À PLUSIEURS MAINS…)
5PROPOSITION D’ÉCRITURE « DE BOUCLAGE »
6TOUR DE LECTURE DES TEXTES
7AU FIL DES LECTURES : RETOUR SUR CHAQUE TEXTE : EN TANT QU’OBJET LITTÉRAIRE, ET VIS-À-VIS DE L’INTENTION DE L’ATELIER
8TEMPS DE PARTAGE, ET ÉCHANGE SUR LA SUITE DE L’ACCOMPAGNEMENT
9CLÔTURE DE L’ATELIER

Avant chaque atelier, je prépare une trame sur-mesure, adaptée, comprenant une succession de propositions d’écriture, ainsi que des propositions alternatives si certaines personnes sont inconfortables avec les propositions initiales. Je veille à ce que les énoncés ouvrent à la créativité de façon ludique et sécurisée, toujours en rapport, sur le fond comme sur la forme, avec l’intention identifiée préalablement. Les techniques proposées peuvent être très variées : cadavre exquis, écriture automatique, dialogues, lettres fictives, cartes postales, écriture non linéaire, poésie surréaliste, caviardage, collages de mots… et peuvent mêler temps collectifs et temps individuels. Des textes d’auteur.ices et des supports visuels peuvent également être utilisés pour stimuler l’écriture (extraits de romans, poèmes, images, photographies, dessins, lettres, etc.).

Aucune pratique d’écriture créative n’est nécessaire pour participer, seulement l’envie d’essayer ou le goût de l’écriture ♥

L’intention de chaque atelier est identifiée préalablement avec la personne portant le projet. Nous échangeons au sujet de la, ou des problématique(s) rencontrées par le groupe, et de la façon dont cela pourrait être abordé par l’écriture. J’en tiens compte pour constituer les propositions d’écriture, si bien que les textes écris en séance permettent d’aborder ces sujets, de façon créative voire surprenante. Les liens entre les textes produits en ateliers et la ou les problématiques de départ sont discutés collectivement lors du temps de Â«Â retour sur les textes ».

  • des retours sur les textes en tant qu’objets littéraires aident les écrivant.es à identifier les caractéristiques et spécificités de leurs écrits, et les effets qu’ils produisent sur les lecteur.ices ou auditeur.ices. Je veille également à ouvrir des pistes de retravail des textes pour qu’ils et elles puissent les valoriser au mieux dans le cadre du projet collectif.
  • un temps d’échange sur le processus qui s’est opéré pour chacun.e lors de l’écriture, et sur ce qui a émergé à travers l’écriture, aide les écrivant.es à faire avancer la résolution de leur problématique « dans le monde réel ». Quel a été le vécu pendant l’expérience d’écriture ? Quelles questions et/ou idées a-t-elle fait émerger ? Comment cela alimente-t-il les réflexions du groupe, et son évolution vis-à-vis de la problématique identifiée ensemble ? Sont autant de questions dont nous échangerons ensemble.
  • mes capacités d’écoute active, de reformulation, d’accueil bienveillant et non jugeant, d’empathie, développées au cours de 15 années d’accompagnement de projets multi-acteurs dans les territoires ruraux et les filières agri-alimentaires
  • mes connaissances scientifiques et politiques des sujets du vivant, cultivées par ma passion pour l’écologie
  • mon savoir-faire d’écrivante, car j’écris moi-même depuis toujours et participe à des ateliers d’écriture depuis 2009
EXEMPLE : DÉBUT DE LA TRAME D’ATELIER « MANIFESTE : CE QUE JE ‘VEUX DIRE' » ; IDENTIFIER ET ÉCRIRE SES CONVICTIONS (cliquer pour déplier)
  1. L’intention : « Je sens que j’ai des choses à dire, à affirmer, mais quoi exactement ? » / « Qu’est-ce qui me ferait plaisir ? » / « Mon message n’est pas assez clair » ; cette trame d’atelier d’écriture créative a été élaborée pour poser des mots sur ses convictions, les mettre au clair, les préciser, et les donner à entendre sous la forme d’un manifeste.
  2. Le Manifeste du surréalisme, écrit par André Breton en 1924 servira de support pour ce dispositif d’écriture. Parce qu’il s’agit d’un manifeste, c’est-à-dire une affirmation portée dans le monde ; et parce que le surréalisme avait l’ambition de donner à voir et à entendre ce qui se cachait sous la surface, la réalité des inconscients, des désirs, des rêves, « le fonctionnement réel de la pensée ».
  3. En guise d’échauffement, commencer par caviarder le passage du Manifeste du surréalisme fourni (passage de « Le langage a été donné à l’homme pour qu’il en fasse un usage surréaliste » à « Et je ne parle pas de la conscience poétique des objets, que je n’ai pu acquérir qu’à leur contact spirituel mille fois répété. »), de façon à en tirer un poème court (et absurde !). Puis le lire à haute voix comme s’il s’agissait d’un discours sensé et engagé.

Rappel : caviarder permet de se mettre en jambes poétiques, d’activer l’air de rien la créativité, de venir aux mots sans en écrire un seul 😊. Le « caviardage » (en référence aux documents rendus ainsi confidentiels par l’URSS lors de la guerre froide…), ou « marinière » (du fait de l’effet visuel produit), est une technique d’écriture créative inventée par l’OULIPO (Ouvroir de Littérature Potentielle). Il consiste à utiliser une page de livre et à en extraire seulement quelques mots, en noircissant les autres. Il en ressort… des surprises poétiques ! 🤗

Télécharger le document à imprimer pour caviarder ici : extrait du Manifeste du surréalisme

Exemple issu du caviardage du Manifeste du surréalisme : « Un surréaliste est indispensable à l’accomplissement de prises grossières. Ce faisant, il se borne, anxieux des mots, à une question très simple à prononcer : « tourner sept fois la langue, qui a pu croire qu’il se propose des rapports plus délicats ? » Écrire d’autres effets ne me hâte pas ! Toujours telle phrase me cause une phrase suivante, fatale. Les groupes-mots se suivent à une miraculeuse réserve toujours valable, circonstances de langage, mais encore extraordinaire domaine où il m’est arrivé le sens, après coup, exactement. Jamais d’heureuses tournures parlent de conscience poétique spirituelle. »

LORS DES ATELIERS, JE VOUS INVITE À RESPECTER LES QUELQUES « RÈGLES » SUIVANTES :

Bienveillance et non-jugement envers soi-même et envers les autres : je vous invite à accueillir ce qui se présente à vous dans votre processus d’écriture, en essayant de ne pas y porter de jugement, aussi bien sur le fond que sur la forme. Ayez bien en tête qu’il ne s’agit aucunement de faire de la « grande littérature » mais bien de jouer avec les mots et d’explorer une question, d’approfondir une réflexion, d’exprimer des émotions ou des messages. L’écriture est une opportunité, et les « contraintes » d’écriture (énoncés, propositions) sont là pour stimuler la réflexion et la création 🙂

Liberté : en atelier, vous pouvez vous sentir libre de suivre ou non les propositions que je vous fais, de les interpréter à votre manière (il n’y a pas de hors sujet !), de partir tout à fait sur autre chose si c’est ce qui se présente à vous, ou de me demander une proposition alternative. Par ailleurs, la lecture des textes est fortement recommandée, puisqu’ils sont le support des échanges qui suivent l’écriture, mais si certains passages vous paraissent trop intimes, vous pouvez choisir de ne lire que certains extraits de vos textes.

Intimité : lors des ateliers, il est important de respecter votre propre intimité, ainsi que celle des personnes autour de vous. Pour cela, si nous travaillons en visio je vous recommande de trouver un endroit calme dans lequel vous avez suffisamment d’espace autour de vous pour vous sentir à l’aise. Si nous nous retrouvons en présence, assurez-vous également d’avoir suffisamment d’espace autour de vous, et veillez à ce que personne ne « jette un Å“il » sur l’écrit de son voisin ou de sa voisine pendant l’écriture.

Silence : le silence favorise la concentration et l’introspection. Veillez à le respecter pour vous-même et celles et ceux qui vous entourent lors des temps d’écriture.

« Tout ce qui compte ne se compte pas toujours mais se raconte. »
CERDD – Centre Ressource du Développement Durable

VOIR ÉGALEMENT

les accompagnements individuels

les résidences d’artiste

les réalisations passées et en cours

Ardenne, P. (2019), Un art écologique : création plasticienne et anthropocène, Éditions Le Bord de l’Eau, Lormont

Bedell, C. (2020), Coacher avec l’approche narrative, InterÉditions, Malakoff

Belmokhtar, V. (2022), L’artiste et le vivant : pour un art écologique, inclusif et engagé, Pyramyd éditions, Paris

Citton, Y. (2010), Mythocratie : Storytelling et imaginaire de gauche, Éditions Amsterdam, Paris

Cyrulnik, B. et Jorland, G. (sous la dir. de) (2012), Résilience : connaissances de base, Éditions Odile Jacob, Paris

D’Ansembourg, T. (2008), Qui fuis-je ? Où cours-tu ? À quoi servons-nous ? Vers l’intériorité citoyenne, Les Éditions de l’Homme, Montréal

Descola, P. (2005), Par-delà nature et culture, Éditions Gallimard, Paris

Dion, C. et Noualhat, L. (2018), Après Demain – film, France 2

Fleury, C. et Prévot, A.C. (sous la direction de) (2017), Le souci de la nature, Apprendre, inventer, gouverner, CNRS Éditions, Paris

Harari, Y. N. (2015), Sapiens : Une brève histoire de l’humanité, Éditions Albin Michel, Paris

Hopkins, R. (2023), Et si… on libérait notre imagination pour créer le futur que nous voulons ?, Éditions Actes Sud, Arles

Huston, N. (2008), L’espèce fabulatrice, Éditions Actes Sud, Arles

Jousseaume, V. (2021), Plouc Pride, Un nouveau récit pour les campagnes, Éditions de l’Aube, La Tour d’Aigues

Jung, C.G. (1964), Dialectique du moi et de l’inconscient, Éditions Gallimard, Paris

Lacroix, A. (2021), Comment ne pas être esclave du système ?, Allary Éditions, Paris

Martin, N. (2019), Croire aux fauves, Éditions Verticales, Paris

Michelot, S. (2021), Méditer à travers l’art : 100 oeuvres pour faire l’expérience de la pleine conscience, Éditions Albin Michel, Paris

Midal, F. (2019), Narcisse n’est pas égoïste, Coédition Flammarion / Versilio, Paris

Morin, E. (2005), Introduction à la pensée complexe, Éditions du Seuil, Paris

Morizot, B. (2022), Pourquoi des forêts en temps de détresse ? Un chemin privilégié pour changer de relation au vivant, conférence au Club 44

Morizot, B. (2020), Manières d’être vivant, Éditions Actes Sud, Arles

Pépin, C. (2021), La rencontre, une philosophie, Allary Éditions, Paris

Rosa, H. (2023), Rendre le monde indisponible, Éditions La Découverte, Paris

Rosa, H. (2022), Pédagogie de la résonance, Entretiens avec Wolfgang Endres, Éditions Le Pommier 

Rosa, H. (2018), Résonance : une sociologie de la relation au monde, Éditions La Découverte, Paris

Rosa, H. (2010), Accélération : une critique sociale du temps, Éditions La Découverte, Paris

Roux, B. (2018), L’art de conter nos expériences collectives ; Faire récit à l’heure du storytelling, Éditions du Commun, Rennes

Serres, M. (1992), Le contrat naturel, Éditions Flammarion, Paris

Socialter (2020), Le réveil des imaginaires, hors-série n°8

Zhong-Mengual, E. (2021), Apprendre à voir : le point de vue du vivant, Éditions Actes Sud, Arles

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